Comment augmenter ses ventes online

Comment augmenter ses ventes online

Les newsletters sont revenues sur le devant de la scène. Surtout en matière de marketing et webmarketing. Dans la famille des newsletters webmarketing, parlons d’Antoine BM et d’une de ses dernières lettres envoyées, où il est question de comment augmenter ses ventes online, à travers 5 conseils.

A l’assaut de nos freins

Depuis quelques mois, années, c’est une véritable guerilla qui s’opère sur les réseaux sociaux et sur le web. Une centaine de personnes viennent promettre monts et merveilles. Augmenter ses ventes online, devenir entrepreneur, trouver son produit market fit… Toutes les craintes et sources de stress d’un entrepreneur sont devenus autant de sujet de « formation » et « coaching » proposés par un nouveau genre de blogueur.

Dans le lot, il y a de vrais gros charlatans. Mais il y a aussi de très bons conseilleurs. Si l’on a déjà parlé de l’agence lyonnaise de com digitale Supernatifs et de son podcast Superdaily, ils ne sont pas les seuls.

On peut aussi citer, dans la famille des analystes de Growth Marketing : Yann Léonardi et ses très bonnes analyses et cas pratiques, en format podcast, vidéos sur Youtube ou via sa tout aussi bonne newsletter ; Germinal, très connu des geeks épris de marketing moderne.

Puis il y a pléthore de sites et magazines qu’il est bon de suivre. On ne va pas tous les énumérer.

Parlons ici d’Antoine BM. Je suis ses newsletters et vidéos depuis pas mal de temps. Et c’est vrai que si parfois (souvent) la forme (c’est à dire la méthode) prend un peu trop le pas sur le fond, on a souvent quand même de quoi faire avec ses contenus. OK, il est souvent question de rejoindre telle ou telle formation qui promet de devenir un crack en 2 semaines. Peu ou prou.

Mais si l’ont fait abstraction de ces éléments commerciaux directs, on peut arriver à trouver quelques idées, conseils.

Conseils généraux

Dans une des dernières lettres envoyées, il est grosso modo question de comment augmenter ses ventes online. Le titre de la newsletter en question est « 5 astuces pour augmenter ses ventes ». Si le mail venait de n’importe qui d’autre, on le mettrait directement à la corbeille. Mais quand il provient de quelqu’un que l’on suit, on ouvre le mail, on parcourt l’intro et on essaie de capter la teneur du sujet évoqué.

S’il semble très facile de prodiguer des conseils aussi génériques que merdiques de type « il faut avoir confiance en son produit », « il faut être très organisé », « être créatif est la clé » ; on peut toutefois tirer de tout ça de temps en temps une méthodologie intéressante.

Comment augmenter ses ventes online en 5 conseils

Dans la newsletter en question, Antoine BM nous indique que pour booster ses ventes online, on peut miser sur les 5 points suivants :

  1. Créer une limite
    Notre jeune ami conseille ici de prévoir dès le début une limite de volume. Ce qui être sous la forme d’un objectif minimisé. Prévoir 100 articles à la vente est un argument de vente en soi. Car la rupture de stock est souvent perçu comme un gage de qualité. Mettre en avant un nombre limité de produits également tabler sur la volonté d’appartenance de prospects. « Faire parti de ceux qui ont ». Vous voyez le tableau. Si c’est très vulgaire dit comme ça, et si on y réfléchit, ça peut être tout à fait intéressant si c’est mené un peu plus subtilement que ça.
  2. Proposer un upsell
    Déjà, qu’est-ce qu’un upsell ? Ni plus ni moins qu’un emploi anglais pour dire « vente complémentaire ». On adore ça dans le marketing. Ca résume une idée, et ça fait plus Silicon Valley aussi. L’idée ici donc est de proposer, via sa plateforme de vente donc, des ventes connexes complémentaires. L’exemple est tout à fait con si l’on prend Amazon. Quand vous achetez un filtre à eau Brita, on vous propose d’autres types de carafes qui viendraient étoffer votre expérience. Vrai ? Et beh voilà, il s’agit ni plus ni moins que de reproduire cela à votre (notre) échelle. Reste bien évidemment à voir la faisabilité d’un tel plan, que ça soit en matière de produits/service que l’on vend, comme en matière de faisabilité technique sur le site que vous pilotez.
  3. Offrir une garantie
    Mettre en place une garantie consommateur serait susceptible de gonfler considérablement ses ventes, dans la mesure où ça vient finir de convaincre et rassurer le client qui hésite à passer à l’action de l’achat. Attention : la garantie doit être véritable, et sans vices. Sinon, ça n’est pas éthique, et ça, on n’aime pas du tout. Et les clients non plus. Ce qui se retournerait facilement contre vous comme un bon vieux retour de pédale dans le tibia.
  4. Lister les bénéfices
    Dresser une liste exhaustive et objective des qualités et bénéfices de votre produit permet non seulement d’aider le client à bien cerner ledit produit. Car souvent, on en la tête dans le guidon, on est persuadé de répondre à un problème mondial, sauf qu’on l’explique mal, on l’exprime de la mauvaise façon. Du coup on loupe le coche. Puis, cela permet également de faire penser à des bénéfices auquel le client n’aurait pas penser. Aussi, ça peut permettre un meilleur référencement aussi. On pourrait ajouter à ça plein d’autres atouts. Mais c’est déjà pas mal !
  5. Etre sensible aux « momentums »
    C’est le point un peu plus délicat. Et c’est là où le gars Antoine est malin. Il nous file des conseils somme toute assez banals, puis il balance un point un peu plus intéressant, voire intriguant. Et là, il en dit moins. Et bam, il vend sa formation pour justement en savoir plus. Malynx !
    Pour nous, il s’agit en fait d’être à l’affut de la demande, d’être proche du marché, de façon à cerner les éventuels « insights » possibles. Ca peut être également une sorte d’opportunisme dans le sens où l’on peut proposer des produits auxquels on n’avait pas pensé, mais puisque notre clientèle semble le réclamer, donnons le leur.
    On peut aussi penser au fait que lorsqu’il y a un fait d’actualité, un fait divers, une mode, une tendance ; on peut se l’accaparer pour en faire un argument de vente supplémentaire.
    L’exemple que l’on donnerait : quand Bernie Sanders a fait le tour de la toile, ses équipes ont de suite compris l’engouement général et ont dans la foulée créés des t-shirts et un tas de goodies à son effigie. Et si l’on est soi même à la tête d’une entreprise qui confectionne des t-shirts, surfer sur le buzz serait un bon « momentum ». On peut aussi citer justement ces entreprises de t-shirts qui, dès l’annonce de la séparation des Daft Punk, ont proposé dans les 5h qui ont suivi, des t-shirt les mettant en scène.
    Le momentum est en fait la faculté de savoir exactement présenter son produit à la bonne clientèle, de la bonne façon et par le bon biais.

Si certain.e.s d’entre vous seraient partants pour explorer plus en profondeur, on vous invite à aller suivre les formations de l’ami Antoine par ici. Et bien évidemment de venir nous dire ce que vous en avez pensé.

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