Comment améliorer son taux d’ouverture d’emails

Comment améliorer son taux d’ouverture d’emails

Les envois d’email et newsletter son pléthores ces temps-ci. On en reçoit dans tous les sens. Il devient donc important voire indispensable de tout faire pour optimiser au max en se posant la question : comment améliorer son taux d’ouverture d’emails.

Le taux d’ouverture est un des KPI ou données clés lorsque l’on parle d’emailing. Il est donc important à l’ère de l’envoi massif d’email, de tout faire pour optimiser à fond la forme de son mail de façon à avoir un maximum d’ouverture possible.

Alors, comment améliorer son taux d’ouverture d’emails ? Pour ce faire, plusieurs solutions et conseils :

La fréquence

Tout est question de pertinence. Il faut comprendre le mieux possible ses abonnées, son persona, de façon à capter quand est le moment propice pour lui envoyer un mail.

Il n’y a pas de fréquence parfaite. C’est une question liée à son activité, à la teneur de son mail, à l’intérêt que vont lui porter les abonnés. Ca peut être une fois par jour, semaine, mois… Tout dépend de ce que vous faites de ce mail, et ce qu’il représente en termes de valeur pour ceux qui vont la recevoir.

Mais on peut être tous assez d’accord pour dire qu’il vaut pas assez que trop.

Le jour de la semaine

Le timing est tout aussi important, comme tout le reste finalement. Certains vont plutôt conseiller l’envoi d’emails pendant la journée, quand ses abonnés vont être devant leur ordinateurs. D’autres, justement comme l’un de nos chouchous dans le game du Growth : Yann Léonardi, prend plutôt le contrepied en envoyant sa newletter le dimanche soir, quand on est au calme et que le cerveau se prépare doucement à la reprise du taf. Ainsi en envoyant ça le dimanche soir, ce mail sera un des premiers reçus dans la boite mail le lundi matin. C’est une stratégie comme une autre.

On peut aussi se dire qu’il vaut mieux l’envoyer tôt le mardi matin. Pourquoi ? Parce que le lundi on va faire le tri de sa boite mail avec tous les trucs de naze reçus pendant le week-end. Le mardi est ainsi encore relativement immaculé en termes de réception d’emails. On est encore tôt dans la semaine donc on n’est pas submergé de mails en retard. Puis, tôt le matin, de façon à être présent lorsque l’on ouvre se boite mail.

Mais des stratégies il peut y avoir 10.000. Il faut juste réfléchir, se pencher sur la question, se mettre à la place de son abonné, pour lui faciliter la chose.

Expliciter le Cal to Action rapidement

Droit au But comme on dit chez nous à Marseille. Un précepte qui prévaut en marketing de l’email. Ne pas y aller par quatre chemins, ne pas chercher midi à quatorze heure… Bref, ce genre d’adages.

Il est question en fait de rapidement faire état du pourquoi on envoie cet email. Ainsi l’abonné saura rapidement pourquoi il ouvre cet email. Il va recevoir tellement de sollicitations qu’il faut à tout prix qu’il ait compris rapidement ce dont il s’agit, pour ne pas le saoûler en cours de route.

On gagne en efficacité, en rapidité d’ouverture. Et puis surtout ça évite que l’on prenne le risque que l’abonné ouvre le mail mais n’aille pas plus loin.

Le titre du mail

Quand on se demande comment améliorer son taux d’ouverture d’emails, finalement un des tout premiers éléments va se situer dans le titre lui-même. L’objet du mail va être l’élément déterminant. Puisque c’est le premier élément qu’on va voir dans sa boite mail.

Là, il y a plusieurs écoles : putaclic, mystérieux, sauveteur… On peut opter pour plusieurs stratégies, il n’y a pas UNE vérité mais PLUSIEURS. Là aussi ça va dépendre de son entreprise, son image, ses valeurs, du produit que l’on vend, à qui on le vend… Tout ça.

Mais ce qui est clair, c’est qu’il faut être ultra clair, concis, appétissant. Attiser la curiosité, l’intérêt. L’art du rédac va entrer en jeu dès l’objet du mail donc.

Le Blog du Modérateur nous explique qu’il veut mieux miser sur une forme de l’objet de mai incluant : nom de l’entreprise – nom et prénom du destinataire. Ainsi la forme personnalisée va attiser la curiosité personnelle du receveur.

Le petit hack made in Smarteking : on peut jouer avec les émojis. Nous ce qu’on aime faire, c’est inclure un émjoi étoile en début de mail. Ce qui attire l’oeil, et rappelle forcément les petites étoiles des emails importants dans sa boite mail. Attention toutefois à bien l’utiliser, sinon vous finirez directement dans les spams, sans passer par la case départ.

L’introduction

Le pré-header, c’est à dire la partie de l’email que va voir l’abonné tout de suite après l’objet de mail, va être déterminant. Il doit être honnête, clair, bref et lui-aussi appétissant.

L’art du résumé poussé au rang d’art.

L’identité d’envoi

Soigner son identité visible va être aussi important. Car c’est la façon dont l’abonné va voir voir débarquer dans sa boite mail. Ainsi le nom de l’entreprise, le logo, la façon dont on se décrit… Tout ça va être super important car va faire partie de la confiance que l’abonné va accorder ou pas à la légitimité de ce mail dans sa boite de réception.

La lisibilité du mail

En plus d’être clair et intelligible dans son fond, le mail doit l’être également dans sa forme, de façon à ne pas être considéré par l’abonné ou par la boite mail elle-même comme étant un spam.

Un vrai petit combat donc.

Il y a des formes syntaxiques et orthographiques à bannir. Pour ce faire il faut éviter les spam-words et spam-phrases. Ca se trouve facilement sur le Net tout ça.

Mais c’est là aussi au niveau de l’objet de mail que ça va se passer. D’aucun est tellement facilité qu’il se base sur un simple objet de mail pour décider ou non de l’ouverture de celui-ci.

Il faut donc être ni-quel mi-chel là-dessus !

Etre fair-play

Dans le sens où il faut être honnête, responsable et éthique. Il faut proposer plusieurs boutons cal-to-action dans son mail, certes, avec plusieurs formes textuelles de copywritting de façon à accompagner l’abonné dans l’avancée de sa lecture avec des boutons qui accompagnent sa maturité à cliquer.

Un peu comme un funel de vente mais propre à un email finalement.

Et surtout, ne pas rediriger un abonné vers un lien qui n’est pas prévu. Sinon, il n’y aura pas de carton jaune, c’est le carton rouge directement et vous filerez dans les vestiaires directement.


Cette petit compilation de conseils nous est proposée par le Blog du Modérateur. Superbe site à suivre absolument pour tout amoureux de marketing, digital et communication.

Si vous avez d’autres conseils ou retours à nous faire part, nous serons absolument heureux de les lire en commentaires. Alors, n’hésitez pas les amis à nous écrire.


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